UNE FEMME SINON RIEN…
ONU : la Commission des droits de l’homme recommande l’interdiction de la polygamie en Afrique
Le lundi dernier, la polygamie était au centre des discussions à la Commission des droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies. Si certaines religions comme l’islam autorisent un homme à épouser plusieurs femmes, cette commission, ainsi que le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes, estiment que les mariages polygames constituent une discrimination vis-à-vis des femmes et ont recommandé leur interdiction.
Selon eux, en 2019, une étude portant sur 130 pays de Pew Research Center, un think tank américain basé à Washington qui fait des recherches sur la vie sociale, avait affirmé que c’est en Afrique subsaharienne que la polygamie est plus pratiquée. D’après le Pew Research Center, ce phénomène concerne environ 11% de la population. Il ajoute que 2% de la population mondiale vit dans des foyers polygames. Cette pratique est interdite dans une grande partie du monde mais demeure tolérée, voire légale dans plusieurs pays.
Voilà une proposition qui peine à passer chez les Ouest-africains qui y voient encore une façon pour les Occidentaux de leur imposer leur agenda. Sur les réseaux sociaux, c’est une pilule qui peine à passer. Et d’autres pensent que c’est même l’islam qui est visé à travers cette recommandation de la Commission des droits de l’homme de l’Onu.
ndarinfo.com
Alors, si c’est l’islam qui est visé (le prétexte en or) aucune chance d’évolution positive, les femmes continueront d’être les esclaves, sexuelles et autres, des bons musulmans. La polygamie est une des raison du succès de cette religion, un avantage concurrentiel.
Posséder jusqu’à 4 femmes, signe extérieur de richesse, surtout si elles sont bien graces, donc bien nourries.
Et puis chaque 2 jours, coucher avec l’une d’entre elles, ça excite la bête, c’est qui le patron dans la famille ? Et dire qu’il y a des millions de femmes qui acceptent cela et qui trouvent ça normal, ainsi va le monde pour des siècles encore, mais bravo à L’ONU pour cette prise de position très courageuse.